Dans cette série, Grégoire concrétise son envie de s’inspirer de texte littéraire. Il ne cherche pas à avoir un point de vue d’illustrateur, mais essaye de donner vie aux idées que sous-tendent le roman.
Si Cervantès présente son héros comme un sage et un érudit, celui-ci perd pied quand il est question de chevalerie. Victime de ses lectures, de sa culture, peut être à l’image de tout un chacun. Dans le comportement du héros, comme dans ses toiles, le sérieux se dispute au dérisoire. Ainsi Grégoire prend le parti pris de l’humour ou du tragique…